Description du projet
OISEAUX D’ICI ET D’À CÔTÉ
BEST OF ORNITHO
Cliché certifié ISO 9001 : Les oiseaux sont libres. … tellement libres qu’ils nous font rêver. Pour nous les humains, voler, c’est le rêve d’Icare, que certains ont pu concrétiser avec plus ou moins de bonheur à coup d’artifices techniques (le vol libre en deltaplane, ou parapente, me semblant en être la forme la plus aboutie).
Libres les oiseaux ? … peut-être pas tant que ça, à y regarder de plus près : Qu’est-ce qui pousse donc les pigeons des villes (Pigeon biset) à passer leur vie dans un univers sale, pollué, à se mettre ainsi en totale dépendance des humains et à se nourrir de leurs médiocres déchets ? En quelques coups d’ailes, ils pourraient rejoindre leurs frères ramiers, « libres » dans les bois et les haies. Mais non. Ce qui les fait demeurer ainsi inféodés aux humains et à l’univers monstrueux de leurs villes, c’est l’atavisme : Ils font comme leurs parents, et les parents de leurs parents … Et comme eux, ils mourront intoxiqués ou écrasés.
Et nous les humains – les plus chanceux d’entre nous, je veux dire – que faisons nous de notre liberté, réelle ou fantasmée ? Vaste question !
Bon, allez, trêve de philosophie de bistrot. Voici donc une collection concernant un des sujets de photo naturaliste qui me sont chers : Le monde des oiseaux.
Cette collection, pas encore finalisée ni dans son contenu, ni dans sa présentation, vous est proposée selon quelques regroupements plus ou moins arbitraires et opportuns. Vous n’y trouverez pas les rapaces, auxquels j’ai décidé de consacrer une collection particulière (atteindre la collection « Rapaces »).
OISEAUX DE MONTAGNE
Collection un peu pauvre par l’absence de bien des espèces mythiques de la montagne : Lagopède, Grand Tétras, Tétras Lyre, Gélinotte des bois, etc. Bon, … peut-être plus tard ! Les rapaces, quand à eux, font l’objet d’une collection séparée accessible ici.
Pour la Gélinotte des bois, je vous propose de découvrir le magnifique travail de l’ami Jean Guillet.
« Les souvenirs appartiennent au règne des oiseaux, ils laissent une plume quand ils s’en vont. Grâce à elle, on sait à quelle espèce ils appartiennent. »
« Ce sont les enfants et les oiseaux qu’il faut interroger sur le goût des cerises et des fraises. »
« Il faut être léger comme l’oiseau et non comme la plume. »
« Il lui avait demandé si elle croyait que les oiseaux étaient des présages de bonheur. Je ne sais pas, disait-elle, je pense que c’est en soi un grand bonheur de les voir. »
Superbes !